Mon avis sur le chantier des Torpilleurs

Il est positif.

Comme dans beaucoup de chantiers on est tranquille pour bosser. Chacun fait ce qu'il a à faire dans son coin et à part ceux qui sont justes à proximité les échanges sont peux nombreux avec les autres. Tout le monde travaille. J'ai quand même pu inviter un couple à prendre un thé un jour mais c'est tout !!!

Le chantier est équipé d'un toilette et d'une douche avec lavabo. Les deux sont accessibles H24. Mine de rien c'est vraiment un gros plus par rapport à JPL

On a sur place un ship bien achalandé et s'il manque quelque chose cela arrive le lendemain. Ca aussi c'est vraiment pratique.

Le personnel du chantier est sympathique. On peut demander des conseils on est renseigné.

J'ai vu des travaux faits par le chantier ( installation de propulseur d'étrave) C'est bien fait. Cela donne une idée des compétences en cas de gros travaux à faire faire un jour.

L'électricité est disponible H24 quand on est là. Il est demandé de la débrancher quand personne n'est à bord et tout le monde respecte la consigne. 

J'ai pu coucher à bord sans que personne ne me demande rien.

Les voitures sont dans une zone libre d'accès mais qui je pense est sans risque.

J'ai pu emprunter une échelle sur place pendant tous mes travaux.

La ballade de Ouistreham aux torpilleurs n'est pas désagréable.

Le chantier est à 1h de route nationale de la maison.  Et à 1/2 si je prends autoroute et pont de Tancarville. Dans ce cas on paie le péage. Le plus souvent j'ai pris la route et le pont de Brotonne. C'est sans péage. Lors du dernier voyage retour j'ai pris le bac de Quillebeuf que m'avait conseillé un gars qui bosse là bas et dont j'avais fait connaissance sur le BDP. On évite le péage de Tancarville (2.80 €) Ensuite on rejoint une portion d'autoroute gratuite puis on a le choix entre finir via le péage ou via la nationale. C'est bien plus court que Brotonne.

Je vais attendre de payer ma facture avant de faire un comparatif de coût si je met Fullhaya là bas pour l'hivernage et si je libère ma place de port. C'est à étudier.